Ici le gilet de sauvetage B-4 qui ne pourra pas empêcher la mort de centaines de parachutistes, qui ont atteri dans les marais, noyés sous le poids du matériels, empêchant toutes actions. Cependant quelques parachutistes l'utiliseront en tirant sur les petites cordelettes qui libèrent un gaz rendant le gilet flottable.
Ci-dessus apparaît le parachute dorsal T-5, ainsi que le parachute ventral de secours.
Le parachute dorsal se fixe grâce à un harnais qui se ferme au niveau de la poitrine.
Le sac à voilure dispose d'une corde, au bout de laquelle se trouve un mousqueton qu'il faut accrocher sur la sangle à ouverture automatique(SOA). Quand le parachutiste saute de l'avion la corde se déplie jusqu'à ce que le devant du sac qui relie la corde s'ouvre et libère la voilure. La gravité s'occupe du reste. Si tout ne se passe pas comme prévu, le parachute ventral entre en action .Le parachutiste ouvre le parachute ventral grâce à la poignée en aluminium rouge et le parachute se déplie.
On poursuit avec les bottes de saut corcoran, le sac de masque à gaz M5 et la pelle pliante M43 et sa housse.
A noter:
Les paras de la 82ème seulement sont équipés de drapeau américain à coudre sur la manche droite lors du débarquement (le brassard d'invasion ne sera distribué que pendant l'opération torch et market garden). Le brassard de détéction des gaz est distribué à la 101ème uniquement. Ils sont également équipés de gants et de boussoles à accrocher au poignet ainsi que pour certain une écharpe camouflée.
Auteur: Xavier Cazcarra